Ephemeride

Ma vie, mes Jours, mes Nuits

Vendredi 1er janvier 2010 à 20:33

Pour moi, si 2009 s'est très bien terminée, 2010 a assez mal commencé, je dois avouer.
La soirée, dans un lavoir reconverti en salle de fête en campagne, s'annonçait pourtant bien. Déjà, j'étais avec lui. En suite, les gens étaient simpas, même si j'avoue, je les connaissais assez mal, vu que j'étais la copine de l'ami de celle qui organisait. Etrangement, c'est plutôt avec ceux qu'il ne connaissait que peu ou pas que je me suis le mieux amusée, je crois. Danser, chanter (ou plutôt beugler), se promener un peu dans les rues, regarder la pleine lune et l'eclipse, ok. Boire un peu, ok.
C'est à partir de minuit que ça s'est gaté.
Des mecs bourrés, des gens tristes (je pense en partie à cause de l'alcool), une fille qui vomissait, lui qui partait toutes les cinq minutes chercher truc ou machin qui s'était cassé(e) dans la campagne environnante...
Et puis la fatigue. Je ne suis pas un oiseau de nuit. Enfin, je ne suis pas faite pour les soirées. Les rares fois où je me retrouve à veiller, je finis souvent à m'endormir sur la table ou à piquer une crise.
Et puis les sorties répétées dehors pour respirer ou se calmer.
Bref, j'ai finis en manteau et écharpe, enroulée dans ma couette avec en rab celle d'une fille et celle de mon petit ami, à trembler comme si on m'avait mise dehors toute nue par une température de moins vingt. Et là j'avoue, j'ai un peu flippé. Au début je me disais que j'allais me réchauffer et que ça passerait, que c'était juste la fatigue. A la fin, j'avais droit toutes les cinq secondes à quelqu'un qui venait vérifier que j'allais bien, me demander si je voulais ceci ou cela, me dire que j'avais de la fièvre, et moi je ne contrôlais plus rien.
Je tremblais de tout mon long, violement, sans savoir pourquoi, sans savoir comment arrêter ça, sans réussir à contrôler mon corps.
J'ai fini par appeller mon père, et le temps qu'il arrive, je me suis assise et on m'a fait parler.
Les tremblements ont cessé au bout d'un quart d'heure dans al voiture, grace au siège chauffant. je creuvais de chaud, mais je savais que si j'arrêtais le siège, j'étais repartie.
Je me suis couchée, et j'ai rêvé que j'étais restée là bas et que j'avais tremblé toute la nuit. J'avais trop chaud, trop froid, enfin...Bref, là ça va mais j'avoue que je suis un peu dégoutée.

Surtout que là, maintenant, il va falloir bosser...
Yepe.

Bonnée année.

Par lancien le Samedi 2 janvier 2010 à 15:04
Bonne année et meilleure qu'elle n'a débuté !
C'est sûrement la fatigue; l'organisme qui ne réagit plus, on a froid et on tremble, réaction normale pour se réchauffer.
il n'y a pas de recette magique : les grands-mères te mettent dans une couverture, te donnent une infusion brûlante et te font allongér. En général cela vous calme.
Mais tu as bien fait d'appeler ton père et d'aller au lit. Demain tout ira bien.
 

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