Ephemeride
Ma vie, mes Jours, mes Nuits
Lundi 29 mars 2010 à 20:41
Du coup, maintenant je compare tout à ces murs de ski dans ma vie: il faut te lancer, une fois lancée, tu peux pas reculer, t'es obligée d'avancer, sinon tu cours encore plus de risques de te faire mal.
J'ai un gros mal de crâne, là...Ca m'arrive pas souvent, les migraines, mais quand j'en ai, c'est quelque chose.
Mais bon, j'écris bravement, parce que je suis exceptionnellement conne et que j'ai envie de me niquer les yeux sur un écran.
J'ai eut Final Fantasy XIII et j'ai commencé à y jouer, et bah pas mal du tout, je dois dire.
Ah, et j'ai dit à l'autre abruti que je l'aimais il y a deux semaines, puis aussitôt je l'ai regretté: "mais qu'est ce que je suis conne!".
Inutile de lui dire, il est au courant, avec tout ce que je fais, avec la manière dont je m'aplatis comme une faible femme devant lui, la manière dont je le cherche partout et celle dont je passe mon temps à vouloir juste un peu de lui...Il y a des moments, comme ça, où je suis indignée d'une telle niaiserie de ma part. Si ça ne dépendait que de moi, de mon moi raisonné et stable -si tant est que la raison et la stabilité existent- je ne tomberais amoureuse pour rien au monde, surtout maintenant que je sais ce que c'est. En fait, je crois que dans un couple, il y a toujours un aimant et un aimé. L'aimant aime l'aimé, l'aimé aime être aimé. Il aime aussi un peu l'aimant, mais pas de la même manière, pas d'une manière aussi intense.
Ou peut être fais-je de mon cas une vérité générale. Je précise, pour ceux qui ne l'aurait pas compris, je suis l'aimant, pas l'aimé.
J'aimerais bien, pourtant.
Toutefois, si je persiste à être obsédée par lui, ces temps ci, je suis moins attirée par lui.
Ca parait absurde, mais il y a plusieurs choses qui joue chez moi: l'amour, l'amitié, mais aussi l'obsession. Ce qui, venant d'une fille aussi obsessionnelle que moi, n'est guère étonnant.
Ca n'est pas l'obsession dans le sens sexuel du terme, mais dans le sens propre du terme. Penser sans cesse à quelqu'un. A avoir envie de crier de frustration parce qu'on n'est même plus sûre de ce que l'on ressent, mais que l'on y pense quand même, sans cesse.
En fait, je me voudrais forte, impitoyable envers moi même et plus attentive aux autres. Je voudrais être quelqu'un sur qui on peut s'appuyer, quelqu'un sur qui on peut compter. Mais je passe mon temps à m'effondrer, alors je déconseille fortement à qui que ce soit de s'appuyer sur moi.
Sinon, hum...Je m'effraie légèrement. Je me demande si je ne suis pas, sérieusement, en tain de devenir gay. Non pas qu'il y ait de mal à ça, mais enfin, ce doit être assez difficile à vivre, je pense.
Disons que j'ai réalisé quelque chose: la grande majorité des hommes me dégoutent, d'un point de vue physique. Je trouve la femme beaucoup plus belle, plus gracieuse, plus propre. Plus mature aussi, plus sensible, plus intéressante...Je n'ai que très rarement, de ma courte vie, rencontré des hommes sensibles et "intelligents", et des garçons...jamais!
Peut être n'ai-je pas rencontré les bonnes personnes. Il faut aussi dire que dans la vie de tous les jours, on se laisse rarement percevoir tels qu'on est. On ne montrerait que la partie la moins touchable, la plus vulgaire? En tout cas je fonctionne ainsi, et je ne serais pas étonnée que beaucoup me prennent pour une sorte de pute ratée trop extravertie.
Bref, tout ça pour dire que si parfois je trouve un homme séduisant, l'entendre parler et le voir évoluer suffit à couper net mes ardeurs. Et d'un autre côté, je n'ai jamais été sexuellement attirée par une femme, malgré mes "jeux" avec des amies, où on fait "semblant".
...Je suis juste une casse couille, comme dirait un mec de ma classe que j'aime bien.
Parce que oui, il y a des mecs que j'aime bien. Mais je les "aime bien", c'est tout. Ce ne sont même pas des amis, parce que pour moi, un ami est bien plus que quelqu'un à côté de qui on s'assoit en cours. Un ami, on lui confie des choses, on lui fait confiance, il nous confie des choses, il nous fait confiance.
Quand à monsieur...Je ne saurais dire. Je l'aime, sans doute, mais je n'en peux plus de l'aimer, je n'en peux plus de la routine, d'être seule.
Pas de soucis à te faire, ma vieille, l'an prochain...L'an prochain il ne sera plus qu'un souvenir, il n'aura plus de temps à te consacrer, de toute manière. Il en a déjà tellement peu actuellement.
Il ne correspond pas à ma définition de l'homme idéal. Il n'est pas beau, il est niais, il n'est pas "attentionné", il n'a pas de culture autre que celle du bourrage de crâne du lycée et de Final Fantasy...Pourtant je ne peux pas m'empêcher de penser à lui, et ce presque trois ans. Je le pourrais que je l'effacerais de ma vie. Je n'y arrive pas. Pas pour l'instant.
Et en même temps, je ne le souhaite pas.
Bon, je crois que je ne raconte vraiment que des conneries ce soir...Ouch oui quand je relis c'est pas glorieux. Tant pis, je poste quand même. Foutue migraine.
Vendredi 12 mars 2010 à 20:52
Et même après tout ça j'avais encore envie de manger quelque chose. Je sais pas, manger me donne l'impression de donner du sens à ma vie, je crois. Ca m'apaise, le soir, après le lycée, et à chaque fois qu'il s'agit de lycée en fait, que ce soit pour réviser ou avant d'aller en cours.
Au point que j'en viens le soir à me demander ce que je vais manger en rentrant.
Il faut dire aussi que mes amies ne peuvent pas faire la même chose: elles rentrent et elles savent qu'un repas leur sera servi deux heures après. Moi je rentre et je sais que je peux faire ce que je veux, manger ce que je veux tant que je finis pas les bonbons de ma mère, et en suite jaurais plus qu'à monter dans ma chambre me lamenter sur mon blog de mon manque de contrôle sur moi même.
En fait, bouffer pour moi, c'est un moyen de me défouler, et plus je mange, plus je suis frustrée, plus je suis frustrée, plus je mange...ça ne me fait pas sentir mieux. Enfin, sur le coup je me sens mieux, mais ce n'est que éphémère, parce que une demie heure plus tard je suis dégoutée de moi même.
Je suis bonne pour aller courir demain. Mon dieu. J'ai pas envie.
J'aimerais bien être une de ces filles sans une once de graisse qui se fout de la nourriture et n'en a rien à foutre de sauter un repas.
Mais non.
Je ne suis pas encore obèse mais j'ai peur, très peur, de finir comme beaucoup de femmes de ma famille maternelle.
Et quand je dis beaucoup, je veux dire presque toutes sauf ma mère et ma tante. Mon autre tante est obèse, ma cousine est obèse, ma soeur est obèse, ma grand mère était obèse, ma grande tante que je connais mal est obèse...sans compter que ma mère a été obèse, que mon oncle est obèse, que mon père a été obèse, que son frère a été obèse, que leur père était obèse...Putain.
Non!
Si on compte les gens pas obèses de la famille, et qui ne l'ont jamais été, on a: moi, bien que je n'ai jamais été mince, mon frère, et lui non plus n'est absolument pas svelte, la soeur aînée de ma mère, sa fille, ma grand mère paternelle. C'est tout, je crois. Du moins dans la famille que je connais.
J'ai essayé de suivre à nouveau le régime du docteur mais le fait de savoir que je ne le reverrais pas ne m'a pas motivée: je ne l'avais suivi la dernière fois que sous la pression de la honte de n'avoir pas perdu de poids lorsque je le reverrais. Là en fait, ça ne m'a rien fait du coup.
Et puis je me dit à quoi bon, aussi. je veux dire, j'ai un petit ami qui semble se foutre de moi que je sois mince ou non, et je n'ai pas l'impression que ça arrangera qui que ce soit dans ma vie de maigrir. Je me sens juste absurde, inutile et lâche.
Je voudrais être courageuse, j'en ai juste ras le bol en fait, je suis creuvée, je n'en peux plus.
J'ai l'impression de passer ma vie à faire des choses que je n'aime pas, et à chaque fois que je dois faire quelque chose que je n'aime pas ou qu'il s'est passé quelque chose que je n'ai pas aimé, je mange.
Pourtant je n'en peux plus d'être empâtée comme une oie, avec tous ces petits plis sur ce ventre rond comme un ballon. Je n'en peux plus de me retenir de hurler lorsque je me pèse, et de trembler en regardant ma soeur à l'idée de finir comme elle, incapable de courir, de faire vraiment du sport ni même de me motiver pour.
Je n'aime pas mon corps, je n'aime pas mon esprit, je n'aime pas mon coeur...Je me demande parfois si il y a quoi que ce soit de beau, au fond, dans ce machin qui constitue qui je suis. Je me sens tordue, dans tous les sens du terme.
Tordue, comme si la vie m'avait prise pour me tordre dès l'enfance, me rendre associale, anormale, incapable de fonctionner normalement.
Je n'en peux plus. Je suis juste creuvée.
Je veux être libre, et partir loin de moi, mais j'aime bien trop la vie pour ça, et j'ai encore bien trop d'espoirs. Foutus espoirs, je mourrai obèse et folle à cause d'eux, parce que je n'aurais pas su m'arrêter à tant, parce que je n'aurais pas su marquer "fin" avant que l'histoire tourne au ridicule.
Chaque être est à la fois grotesque et sublime, parait-il. Personnellement, en ce moment, je me trouve juste grotesque, vulgaire, stupide.
Mercredi 10 mars 2010 à 16:38
Sinon, mes hormones travaillent, je pensent. Disons seulement qu'il y a des moments comme ça où j'ai envie de lui sauter dessus.
D'ailleurs, pas que sur lui...
Ah zut, je viens de me rendre compte que j'ai écrit "irelande" dans le post au dessous...heumm bien suuur Irelande...Deux fois qui plus est...ouch. Du franglish sans doute, entre Irlande et "Ireland".
Ma journée portes ouvertes s'est bien passée, mise à part que je ne suis pas restée toute la journée, une amie m'ayant un peu trop énervé, j'ai donc du rentrer pour aller courir et éviter de lui mettre une tarte. La même que celle qui a fait l'affiche. Disons que je ne pouvais pas en placer une, et que quand j'osais quand même le faire, j'avais droit à son regard à la "pauvre conne", que je ne peux plus supporter au bout de six mois dans la même classe. J'avais oublié comme c'était pénible.
En fait non, je n'avais pas oublié, simplement j'avais espéré que je garderais mon sang froid une année.
Mais je risque de devoir la supporter encore deux ans, alors bon, on souffle et on serre les fesses. Il y a des amies comme ça qu'on aime beaucoup, mais qu'on aurait rien contre voir un peu moins.
Et j'avoue que je ne suis pas facile à vivre en ce moment non plus...et même pas qu'en ce moment.
Les amies de monsieur me sont de plus en plus simpathiques. Je ne dis pas que j'irais passer ma vie avec eux, mais ils me font un peu moins peur...Ou peut être ai je un peu plus de courage qu'en début d'année. Maintenant, ce que je veux, je le prend, et puis basta, tant pis si ça plait pas.
La vie est courte, et j'ai pas envie de la passer à faire des courbettes et des ronds de jambes à des gens qui n'auront pas une once de pitié pour moi au moindre faux pas.
Ce matin, j'ai un peu pété un cable, et pleuré en cours de maths. Je n'avais pas pété de cable au lycée depuis janvier, je me disais aussi que c'était trop beau. Mais bon, je me suis reprise et j'ai fait comme si de rien. La fatigue, les médicaments, le vent qu'il m'a foutu, aussi, j'avoue.
Enfin, j'ai trouvé les paroles d'une ballade irlandaise que j'écoute depuis plusieurs années, alors je suis contente, et je vais demander à ma prof de chant si il a moyen de l'étudier:
The Fields of Anthery
By a lonely prison wall, I heard a young girl calling
"Michael, they have taken you away
For you stole Trevelyan's corn
So the young might see the morn'
Now a prison ship lies waiting in the bay"
Low lie the fields of Athenry
Where once we watched the small free birds fly
Our love was on the wing
We had dreams and songs to sing
It's so lonely 'round the fields of Athenry
By a lonely prison wall, I heard a young man calling
"Nothing matters, Mary, when you're free
Against the famine and the crown
I rebelled, they cut me down
Now you must raise our child with dignity"
Low lie the fields of Athenry
Where once we watched the small free birds fly
Our love was on the wing
We had dreams and songs to sing
It's so lonely 'round the fields of Athenry
By a lonely harbour wall, she watched the last star falling
As the prison ship sailed out against the sky
For she'll live in hope and pray for her love in Botany Bay
It's so lonely 'round the fields of Athenry
Low lie the fields of Athenry
Where once we watched the small free birds fly
Our love was on the wing
We had dreams and songs to sing
It's so lonely 'round the fields of Athenry
Je finirais simplement par dire que je l'ai vu joué pour la première fois samedi matin, au théâtre "En attendant Godot" si je ne m'abuse, car il m'a semblé que c'était ça, et que ça m'a passé mes regrets de n'avoir pas fait théâtre.
Ah, et je veux un gosse.
Ca aussi ça doit être du aux hormonnes... Il parait que c'est normal. Mais enfin, seize ans, chères hormones, c'est un peu tôt, vous ne trouvez pas?
Sur ce, brossage de dents, enfourchage de vélo et voy a cantar.
Vendredi 5 mars 2010 à 22:12
Enfin...Peut être qu'il y a un peu de ça, quelque part, j'avoue. J'ai toujours aimé qu'on me remarque. Malheureusement, si j'y suis toujours parvenue, ça n'a pas toujours été à mon avantage, et ça se comprend, vu la manière dont je m'y prend (prenez une tarée qui hurle dans les couloirs en brandissant un tampon avec applicateur -non usagé, quand même- et vous aurez une petite idée de qui je suis. Même quand je me promets de me planter un ballet dans le c... derrière, j'y arrive pas, trop consciente que je me fous qu'on me prenne pour une folle: j'aime déconner, et il parait qu'on n'a qu'une seule vie).
Bref, tout ça pour dire que si j'écris sur ce cowblog, en fait, c'est pas vraiment pour vous, rares lecteurs. Enfin, un peu, vous l'aurez compris. Mais c'est surtout pour moi. je crois que j'ai besoin d'avoir la sensation de raconter ma vie à quelqu'un, tout en sachant que ça n'aura pas de répercutions sur ma vie quotidienne...Et aussi, écrire me permet de faire le point sur ma vie. Un peu comme pour tout le monde, je réalise.
En fait, un blog, c'est une vitrine de notre personnalité. On peut tricher, et faire la vitrine plus belle que la réalité avec un fond en carton et des jolies fleurs qui disent que nous sommes parfaits, ou on peut au contraire vouloir enlever le fond en carton, le jolis présentoir, et montrer l'intérieur de la boutique avec ses dernières nouveautés, ses articles de qualité mais aussi... ceux de merde.
Oui, je sais, mes métaphores sont un peu...capilotractées?
J'aime ce mot.
Sur le blogus que je tiens depuis trois ans et quelque, un blogus tara Duncan qui date de quand j'avais douze ans et que j'étais ce qu'on appelle une "taraddicte" (sisi, je ne le suis plus mais je continue d'écrire sur mon blogus, parce que je n'ai pas le coeur d'arrêter quelque chose que je fais vivre depuis si longtemps), je me suis rendue compte que les gens qualifiaient souvent mes oeuvres (je poste presque uniquement des poèmes et des textes poétiques) de tortueuses, et mon fonctionnement de tordu, ou c'est tout comme.
Et même dans la vie réelle, les gens me disent souvent que je suis tordue. Et pas seulement à cause du tampon dans le couloir.
Depuis toute petite, mes institutrices me disaient que j'avais "l'art" de me "couper les cheveux en quatre", mes profs de collège, puis de lycée, en suite que je "cherchais la petite bête"...
Affiche faite par une amie de ma classe pour la journée portes ouvertes.
Sautons joyeusement du coq à l'âne, car demain sera la journée portes ouvertes de mon très cher lycée. Je suis donc réquisitionnée pour faire des cookies -quatre fournées, c'est du boulot- et passer ma journée à prouver à des troisièmes, et à la rigueur à des quatrièmes, que 0.9999...=1 (ce qui en fait est très simple à prouver) en anglais, because Mathematics Euro oblige. Et peut être aussi à leur parler un peu de Fibonacci (Jesus?) et du golden number, ainsi que du golden ratio.
Désolée, je ne sais pas écrire des lettres grecques avec un clavier, mais on appelle le nombre Phi (Ou Fi? Ou Phy? Ou Fy?.
En parlant de Mathematics Euro, je ne sais pas combien je vais avoir à l'interro qu'on a faite jeudi...Mais la bonne nouvelle, c'est que j'ai eut 16.5/20 à celle de MPI, une première depuis le début de l'année, moi dont la note maximale en DS de MPI était de...8/15.
Huhu.
Enfin, je suis allée voir "I love you Philipp Morice" au cinéma mercredi avec une amie. J'ai pleuré comme une madeleine, parce que le héro était en train de mourir du sida à un moment. Sauf qu'en fait il mourrait pas. Il faisait juste semblant de mourir pour sortir de prison et faire s'évader son petit copain. Sauf que du coup, il y est retourné, en prison. Et son petit copain en est sorti. It is such a shame!
Et je vais en Irelande en aout pendant trois semaines, en famille d'accueil, pour prendre des cours d'anglais et d'équitation.
Depuis le temps que je souhaite aller en Irelande! Ce qui me gène, c'est que trois semaines, c'est long, et qu'il y aura forcément des gens pénibles à supporter. Les deux fois où je partie en voyage linguistique en Angleterre, il y a eut des gens près à juger sur la manière de s'habiller ou l'endroit d'où l'on vient, qui par conséquent m'ont bien fait chier. Surtout la deuxième, en fait. Espérons que ce ne soit pas le cas cette fois. Ou au moins, que j'arrive à passer outre. Mieux vaut être seule que mal accompagnée.
Non, je n'ai pas de frange, je ne mets pas de taille basse, pas de converses, pas de sac à main imitation je sais pas quoi.
Et oui, je viens de Dijon, aussi appelée par certains parisiens un rien trop fiers de ce qu'ils sont "Moutardland"...Grr "AAAh Dijon, la moutarde!" Ouais, Dijon, la ville où tu ne trouveras pas une seule usine de moutarde, pauvre naze, parce que la moutarde de dijon est faite en POLOGNE!!!! Tsss tss...En plus, j'ai jamais aimé ça, la moutarde, ça me donne la gerbe presque autant que le vinaigre...sinon plus.
Bref, au moins cette fois ci, j'arriverais à communiquer un peu plus avec la famille d'accueil, pas comme quand j'étais en cinquième. Bon, après ça dépend de l'accent, aussi...Le miens comme le leur.
'Fin bon, l'Irlande, c'est pas Londres, y a déjà moins de pouffinettes qui rêvent de mettre les pieds au pays de la pluie, de l'herbe et de la campagne (restons dans la caricature, c'est tellement facile).
Enfin, je vais vous laisser, et aller me faire les ongles. Non, je en plaisante pas, ces temps ci je développe un intérêt certain pour mes ongles, que j'ai tendance à peinturlurer de toutes les manières possibles, pour en suite décoller le vernis en maths pendant la correction d'exercices.
Ah, et on a acheté la batterie pour le groupe. Il l'a montée. Il y a déjà un problème avec le son, elle refuse de jouer autre chose qu'une chanson pré enregistrée. YEPEH!
Moi je dis: vive la technologie.
Sur ce, bien le bonsoir chez vous...