Bonsoir!

Depuis que le weekend a commencé (oui, je sais, il est terminé...), mon régime est FOUTU!
Ca a commencé avant même, lorsque l'un de mes amis s'est ramené avec un pot de Nutella et des crèpes en permanence... Puis ça a continué samedi soir, lorsque mon frère a fait du riz blanc pour diner, avec une sauce au beurre et aux agrumes, des saints Jacques et du saumon (bon, la sauce et le riz, c'était de trop, sinon, le poisson, c'est light, non?). Puis dimanche midi, repas de fêtes, avec magret de canard sauce au miel et au poivre, pommes de terres à l'ail, foie gras, un peu de moelleux (je parle du vin, pas du gâteau), de la glace, un giga macaron aux pralines... Puis lundi, côte de boeuf aux truffes (s'il vous plait madame), foie gras de nouveau en entrée (un tout petit petit bout, comment ça ça compte quand même?), puis glace et macaron au dessert encore, puis au diner (oui, que ça, au diner... Mamma Mia... Je suis une goinfre), puis en rentrant du lycée ce soir, glace, puis au diner, poisson, pâtes, glace... Ok, j'avais perdu trois kilos, j'ai dû en reprendre...quatre! AH! Et j'allais oublier... L'oeuf Kinder que j'ai dévoré hier... Je pense qu'à  ce stade, c'est de la boulimie. Je devrais consulter. Mais je sais pourquoi je baffre: bac blanc dans une semaine. Stress, fatigue, révisions...etc. = besoin de sucre, sucre, sucre. Et je ne suis pas allée courir du weekend, évidemment.

Bon, je sais, je ne suis pas sérieuse. Le bac blanc est dans une semaine, et je viens écrire ici au lieu de bosser. Mais bon, j'ai déjà pris pas mal d'avance: j'ai fini de bosser toute ma SVT, ma physique chimie, mes maths. Plus que l'histoire géographie et la philosophie à bosser. Oui, parce que l'anglais et l'espagnol, c'est pas super la peine de bosser en ce qui me concerne. J'ai de la chance de ce côté là.
Mais il y a aussi mon oral de maths euro. Vendredi 13. Hahahaha. C'est pas grave, je m'en fiche.

Bref, en ce moment, ça ne va pas super fort, si on ajoute à cela le fait que ça fait deux semaines que je n'ai pas vu celui que j'aime, et que je vais encore devoir attendre trois semaines avant de le revoir, tout ça parce que cette semaine,  je révise, la semaine prochaine, bac blanc, et le weekend du 22, élections présidentielles donc je veux aller voter, et lui aussi, donc chacun reste dans sa ville. Donc... Rah.

Mais bon. Dans deux semaines c'est les vacances, j'irai courir tous les jours, je ferai peut être un tour en ville, je ferai, hum, mes DM de maths euro et philosophie (pourvu que le prof de maths n'en rajoute pas un)... Je voudrais déjà y être. En vacances, pas sur mes DM.

Là, je suis en mode stress, stress, stress... je dors pas super, je suis assez énervée, surtout en soirée, surtout contre moi même avec cette histoire de régime foiré... Il faudrait que j'ai une formule magique pour me calmer. Autre qu'un pot de glace. Ou alors il faudrait qu'il n'y ait pas de glace. Oui, ça serait encore plus simple. Pas de glace, pas de chocolat... Pas de bac blanc? Ce qui m'énerve aussi, c'est que je ne suis pas aidée à la maison. Je décide de faire attention, je dis "je ne veux pas de chocolat pour Pâques, et quoi? On m'offre un oeuf Kinder. Purée...

Bref, ceci était le coup de gueule de la soirée, ça m'évite de me plaindre à d'autres par la suite, qui font les frais de mes propres lâchetés...

Bonne soirée.

PS: Je pense que lorsque je serai sortie de là, je m'achèterai le CD de Lana del Rey. Oui, je sais, c'est très commercial et tout et tout, mais j'aime quand même bien sa voix.... Et certaines de ses chansons sont assez sympas je trouve. Ok, je sors.

Bonjour!

    Aujourd'hui, j'ai la flemme. Mais alors vraiment la flemme. Je me dis qu'il me reste trois semaines avant le prochain bac blanc. Je devrais commencer à réviser sérieusement. Je devrais commencer à stresser. Mais je n'y arrive pas. Les bulletins du deuxième trimestres sont arrivés, et je me demande comment ne pas baisser: ce que je vais dire va faire "je me la pète", je sais bien, mais voilà: je suis première de la classe, encore une fois, et j'ai super bien réussi mon premier bac blanc. Alors je me dis que je ne peux que baisser au prochain bac blanc, et ça me fout le moral un peu en l'air. J'aime bien progresser, vous savez. Mais là, à moins que je bosse tous les soirs très sérieusement...et je n'en ai aucune envie... enfin bon, je me plains pas hein... ^^
J'essaie aussi de perdre du poids en ce moment, sans faire vraiment de régime mais en essayant (comme toujours) de manger équilibré, faire du sport et tout et tout... Ce matin sur la balance, moins deux kilos par rapport à mardi soir. Mais bon, c'était le soir, et là c'est le matin. Mais c'est encourageant. Je me sens en forme, vous me direz c'est normal puisque je sors de vacances. Ce matin, j'ai fait visiter mon lycée à des gens pour la journée portes ouvertes, je suis tombée sur une mère qui se figurait que parce que l'internat était dans un château, ça allait être le grand luxe. Oui mais bon madame, vous savez, c'est un lycée public, et donc, pas de sous. Donc chambre du château parfois refaites, parfois pas encore et donc un peu vétustes. Bref, une mère pénible qui m'a un peu énervée. De toute manière il semble que ce soit un choix de second ordre pour elle, donc tant mieux si elle pense que sa fille sera mieux dans un lycée privé qui lui coutera la peau du dos.
Désolée, les gens comme ça, ça m'énerve.

    Sinon, je cherche la motivation pour bosser ma physique chimie. Il faut pourtant. J'ai dit: cette semaine je révise l'histoire géographie, la semaine prochaine la physique chimie, la semaine d'après la SVT et SVT spé. Et en parallèle je révise un peu les maths chaque semaine. Après, l'anglais et l'espagnol, pas besoin de bosser en ce qui me concerne (peut être un peu en espagnol mais ça va), et la philosophie, je vais juste relire mes notes. Par contre, la physique chimie... Ca me fatigue rien que d'y penser. J'aime pas ça.

    J'ai aussi dépensé des sous dans le basic trois temps de Clinique, même si je n'ai acheté que deux temps sur trois, pour voir s'il fait disparaître mes boutons et réussi à ne pas dessécher ma peau, la seule difficulté est que je suis assez incapable de dire à quel type appartient ma peau: grasse, mixte, sèche? Peut être mixte. Disons qu'avec les traitements anti-acné, c'est dur à dire parce qu'elle est grasse en journée sur la zone T mais normale sur le reste du visage, mais elle est aussi très sensible et par moment, sèche à cause des traitements, elle pèle et tiraille, même sur la zone T, et pourtant je n'utilise plus de traitement super méga décapant de la mort qui tue. Donc, j'ai reçu ma commande ce matin, j'ai pris le nettoyant 1 pour peau très sèche, la lotion 2 pour peau sèche à mixte, mais pas la crème hydratante parce que j'en ai toujours Buvard de Lush dont je suis plutôt très contente. Plus la BB crème Clinique par dessus, on va voir ce que ça donne. Si ça marche, je leur voue un culte, si ça marche pas, je serai plutôt déçue parce que c'est quand même pas donné cette histoire. Même si globalement j'ai lu surtout des avis très positifs sur leur basic trois temps. J'ai bien fait de prendre la lotion 2 et pas la 3 ni la 4 pour peaux grasses et très grasses, parce que je trouve déjà que la 2 picote pas mal (même si ça reste supportable).

    Bref, c'était la séquence "j'essaie-désespérement-de-chasser-mes-boutons-sans-foutre-en-l'air-ma-peau" du jour... Contents?
Et oui, du coup, j'ai fait des infidélités à Lush. Mais il faudrait déjà que je finisse les nettoyants Lush que j'ai déjà avant de commencer vraiment à utiliser le super basic trois temps. Je ne veux pas gaspiller.

Bon, je cherche encore la motivation... Je m'étais dit que j'irais peut être courir de cet après-midi, mais je ne suis pas sure qu'il fasse encore beau tout à l'heure (j'avoue, c'est plus une excuse qu'autre chose). Mais en ce moment, je suis super motivée, je fait des abdos tous les soirs, et j'ai l'impression de commencer à voir un peu les résultats, donc je suis contente (résultat un: je culpabilise moins en me disant que je suis une larve qui ne fout rien, c'est déjà beaucoup, merci).

Bon, aller, je vais bosser. Au moins faire mes exercices de physique chimie, et ce soir si je me sens bien, apprendre la géo. Je me dis que l'an prochain, j'ai intérêt à être plus motivée que ça si je veux réussir médecine.

Bonne journée!

Bonjour!

Je passe ici avant de me mettre au travail (SVT surtout cet après-midi, un exercice plus un contrôle de spé demain, sauf qu'il n'y a presque rien à bosser). Ceci dit, je passe, mais je n'ai pas grand chose à raconter.  Nous sommes dans les deux dernières semaines du trimestre, du coup tous les profs nous balancent leurs interos, ce matin d'ailleurs, c'était maths, je n'ai à peu près aucune idée de comment je m'en suis tirée, je suis dans un tel état de stress dans ce moments là que j'ai du mal à m'évaluer.

Avant-hier, c'était la Saint Valentin, le jour qui ne sert à rien. Pourquoi? Parce que lorsqu'on aime les gens, on leur dit tous les jours, ou on leur fait comprendre dans nos actions. Alors, oui, je vais faire partie du clan des râleurs: c'est juste une fête commerciale. Et lorsqu'une vendeuse fait la réflexion à celui que j'aime qu'il pourrait m'offrir quelque chose pour la Saint Valentin, je réponds que c'est inutile: je l'aime pour qui il est, pas pour ce qu'il m'offre, et il ne sert à rien de me faire un cadeau le jour où d'autres ont décrété que c'était une preuve d'amour. Je ne suis pas un mouton. D'ailleurs j'avais complètement oublié ce matin là. Il faut dire qu'on n'en fait pas vraiment beaucoup cas au lycée.

Sinon, hier, j'ai fini le deuxième tome de Gate seven, je suis paumée, j'ai plus qu'à relire le premier, le problème étant que je confonds tous les noms (pourtant j'ai déjà lu un certain nombre de mangas mais là je m'embrouille particulièrement dans les noms japonais, les noms de clans, de familles...etc). Et j'ai aussi fini le premier tome de XXX Holic, qui est vraiment bien. Je ne vais pas tarder à lire la suite. Dès que j'aurais le temps pour l'acheter et la lire calmement.

J'ai aussi appris quelque chose d'un peu dérangeant, concernant une personne que je connaissais avant. Apprendre que cette personne se drogue, je ne sais pas pourquoi, m'a dérangée, et me dérange encore, quand j'y pense. J'avais plus d'estime que ça pour lui. Certes, nous ne sommes plus ensemble depuis maintenant un long bout de temps, et c'est moi qui ai rompu. Mais ça ne veut pas dire que je me contrefout de ce qui lui arrive: j'avais encore de la sympathie pour lui. Et apprendre qu'il a pu tourner ainsi me fait me poser des questions. Est ce qu'il a changé à ce point en à peine deux ans, ou bien est ce qu'il était déjà comme ça, au fond, à l'époque? J'aurais passé trois ans avec un type qui se contrefout du mal qu'il fait à sa propre famille? J'avais plutôt l'impression que c'était parmi les choses importantes pour lui, au point qu'il me pausait souvent des lapins à cause d'eux. Mais non. Manifestement, il est des addictions qui valent plus la peine de sacrifier sa famille que d'autres. Ca me met en colère, alors que ça n'a aucune raison. Vous me direz, pourquoi faire tant de cas que ça de ça? Plein de monde se drogue, c'est devenu anodin, c'est banal, et qu'est ce que ça peut faire de mal? Rien? Si? Et bien si. J'ai grandi en voyant les effets de la drogue sur mon frère, et non, ça n'est pas banal, ni anodin. Ca vous déconnecte de la réalité. Les périodes de manque sont violentes pour soit et les autres. Les périodes "riches", celles où l'on en prend, sont plus cools, sauf qu'on déforme tout, que l'on perd la notion des réalités et des priorités, et que ça enlève toute volonté. Pourquoi en prend-on lorsqu'on a des tonnes de travail? Justement parce que ça nous fait nous sentir plus calmes, sauf que c'est un calme factice qui nous fait croire que les examens, le travail n'est pas important. Mais ça l'est. Et les examens ne sont pas plus faciles pour autant. Mon frère a eut la chance d'être quelqu'un qui avait à la base une certaine volonté et de certains capacités, assez pour savoir bosser pour avoir toutes ses années du premier coup, même de justesse. Mais ça n'est pas le cas de tout le monde. Et je lui en avais parlé, à cette personne. Des soucis que ça avait causé dans ma propre famille. Il savait donc, les effets. Mais non. Un mouton de Panurge je suppose. Je suppose qu'il a fait ça pour suivre ses ami(e)s. Ca me déçoit de lui. J'avais gardé dans l'idée que s'il était un peu je-m'en-foutiste sur les bords -du moins par rapport à moi l'était-il- il savait garder le sens des priorités, il avait un but qu'il poursuivait. Mais non. Et je me dis: comment ai-je pu me tromper à ce point pendant tout ce temps? Il m'a fallu trois ans pour me rendre compte, ou plutôt pour admettre que notre relation n'avait pas d'importance pour lui. Que je n'étais que secondaire. Qu'il était plus préoccupé par ses amis et la place qu'il occupait au sein de son petit univers, amis, études, famille, que par moi. Qu'il était égoïste. Que j'avais été bête et m'étais mis des oeillères à moi même. Bref, qu'il était tout sauf celui dont j'avais besoin, quelqu'un qui m'aide et pour qui je puisse être présente, quelqu'un qui m'accorde la même importance que je lui accorde. Mais je gardais dans l'idée que c'était quelqu'un qui avait des valeurs, quelqu'un de gentil dans le fond, juste naïf et négligeant. Mais non. Il semble que jusqu'au bout, je m'étais trompée. Il s'en fout des autres. Tout ce qui compte, c'est sa petite personne. Au point que sa mère se plaint de lui à l'institutrice de sa petite soeur, qui se trouve par hasard être aussi la mère de ma meilleure amie. Et que j'apprenne ça.  Je suis toujours choquée. J'ai de la peine pour lui. Je me demande comment il a pu tomber aussi bas. Mais je suis surtout en colère contre lui. Et surtout, il me dégoute. C'est un comportement indigne. Il a la chance d'avoir une vraie famille, qui l'aime et l'entoure, et il leur crache au visage en faisait ça. Il me dégoute parce que moi, je n'ai jamais eut cette chance. Parce que j'ai sans doute rencontré plus de merde dans ma vie que lui. Et que je n'ai pourtant jamais cédé à ça. Ce faux échappatoire, cette guérison qui est pire que tout. Et puis, c'est à lui qu'il se fait du mal en premier. Il ruine peut être même sa vie, au point où il en est: il va rater sa prépa, il ne pourra pas la refaire, et c'est sa seule chance d'avoir une école vétérinaire, sa seule chance de faire le métier qu'il veut faire depuis plusieurs années. Et il va tout foutre en l'air pour un joint. Car je suppose que c'est un joint, vu que c'est le moins cher. Et bien crève! Va mourir et ne va pas pleurer que tu as raté ta vie. Tant que tu agiras en égoïste comme tu l'as toujours fait, tu ne mériteras de toute manière pas de réussir.

Sinon, complètement autre chose, mais j'ai mal au dos. Je me demande comment je fais pour avoir aussi mal au dos. Je ne sais pas si c'est parce que je me tiens mal (je n'ai pas l'impression), parce que je porte trop de choses, parce que je suis trop stressée ou trop fatiguée, parce que j'ai une poitrine trop grosse... Mais j'ai mal au dos. Et j'essaie de me débarrasser de mes tocs en ce moment. Hier soir, petite victoire: je ne me suis pas regardée dans le miroir, je n'ai pas réajusté l'armoire, je n'ai pas regardé sous le lit, je n'ai pas réajusté le rideau. Mais j'ai encore récité mes litanies, dans ma tête, silencieusement. Je n'arrive pas à dormir sans. Je ne peux pas dormir sans. J'ai voulu, mais des visions de monstres s'imposaient à moi, une sensation de danger, bref, ces impressions qui me font agir de manière totalement irrationnelle depuis toute petite. Le seul moment où j'arrive à m'en débarrasser, c'est lorsqu'il dort avec moi. Je ne me sens en sécurité qu'à ce moment là. Je ne sais pas quoi faire. Je voudrais d'autant plus m'en débarrasser que j'ai le sentiment que mes troubles alimentaires sont liés à ces tocs, que c'est la même chose qui me pousse à agir compulsivement et à manger compulsivement. La peur de quelque chose, mais quoi ? J'ai l'impression qu'il y a la peur de ne pas y arriver. La peur de mourir peut être, d'une certaine manière. Je voudrais rechercher, mais j'ai l'impression qu'il a une part de moi qui ne veut pas que je trouve. Dès que je me mets à  réfléchir sérieusement à mon comportement, je passe à autre chose, mon esprit se met à divaguer, et je me rends compte que j'évite le problème, mais je n'arrive pas à revenir dessus, c'est comme si ça me glissait dessus. Ou alors je trouve toujours des choses plus importantes à faire. Genre mes devoirs. La lessive. Le repassage. Ranger. Manger. Regarder la télé. Oublier.
Dans ce moments je me dis "quand je serai en vacances" sauf qu'en vacances aussi, j'ai mieux à faire.
Je ne sais pas trop quoi faire. Il y a quelque chose qui ne passe pas. Quelque chose qui ne veut pas sortir.

Sur ces paroles pleines d'optimisme, je vais aller réviser pour demain.

Bonjour!

Cet après-midi, je devrais: faire ma physique, faire mes maths, réviser la géographie, recouper en biseaux les roses rouges offertes par mon chéri pour mon anniversaire et qui commence à tirer la tête, faire du repassage, ranger mon bureau. Ca fait deux heures que je suis rentrée et je n'ai... rien fait de tout ça. J'ai passé la matinée à comater sur ma table, en philo, en anglais, en philo à nouveau, il n'y a qu'en maths que je me suis à peu près bougé les fesses.  Il faut dire que j'ai chopé je ne sais quoi, et ce matin j'avais mal de crâne, fatigue, nez qui coule et froid. Là j'ai juste froid, mais une grosse grosse flemme.

Je pense que je vais quand même m'occuper des roses et du repassage. Le reste on verra plus tard, j'ai besoin de faire quelque chose avec un résultat matériel, concret. Je ferai une page d'exos de chimie pour que si elle vérifie, j'ai quelque chose. Et je jetterai un coup d'oeil aux maths pour ne pas être larguée demain en TP info.

Sinon, ça y est, je suis majeure depuis samedi! C'est étrange. Et j'ai passé le plus merveilleux des anniversaire grâce à l'homme que j'aime, ne serait-ce que grâce à sa simple présence. J'ai été gâtée, par tout le monde. Et en plus, il a fait soleil tout le weekend.

Sur ce, bon, j'ai un peu plein de choses à faire. Alors je vous laisse quelques photos prises ce matin et j'y vais.




Bonne soirée!

Bonjour!

Il fait grand soleil chez moi, ce qui tombe vraiment bien: ce weekend, je relève la tête après une semaine de bac blanc: je respire!
J'ai commencé ce weekend en me faisant un petit plaisir pour les soldes, vendredi soir: j'ai enfin acheté ce sac que je voulais tant, ainsi qu'un nouveau t-shirt. Hier, j'ai fait ma compo de philo à rendre pour demain (que je dois par ailleurs penser à imprimer ce soir...), ranger le bordel qui s'était bien installé dans ma chambre et sur mon bureau cette semaine (c'est un peu comme si j'avais hiberné, un amas de cours, cahiers, classeurs, mélangés à mes vêtements, par terre, sur mon bureau...), faire du repassage, changer les draps, la litière du lapin, recommencer à manger des légumes, aller courir ce matin, aller faire du vélo cet après-midi avec des amies...Bref, je profite du fait qu'après une telle semaine, nous n'avons aucun DS de prévu pour le moment. Je me sens d'attaque pour reprendre le rythme des cours, qui ne peux pas être aussi fatiguant que celui des examens.

J'envisage aussi de craquer pour une paire de chaussures, mais... ce ne serait pas sérieux, alors je serai forte, je résisterai à la tentation. Surtout qu'il faut aussi que je pense aux cadeaux que je voudrai faire pour certains anniversaires à venir... Donc non, pas de chaussures, je serai forte. Même si j'ai la pub pour ces chaussures tournant en boucle au dessus de ma fenêtre Cowblog. Mais j'en ai tellement envie... Je me sens un peu comme Sméagol/Gollum dans le Seigneur des anneaux. Partagée entre mes envies et mon compte en banque.

Sinon, j'ai aussi envie de me remettre à dessiner, et je vais essayer de recommencer à crayonner un peu dans mes moments libres (perm, déjeuner, révisions pas motivées, cours d'espagnol et d'anglais...).

Sur ce, je vous laisse, je vais préparer quelques affaires pour aller faire du vélo.

Bonne journée!